Les Vans en Ardèche (Occitanie)

Le Puy est l’ancienne capitale du Velay, en Languedoc. Sa fondation remonte à l’époque celtique. Lors de leurs invasions dans les Gaules, les Romains y fondèrent une colonie.

 

L'histoire du Puy en Velay

L'histoire du Puy en Velay en Haute-Loire (Auvergne-Rhône-Alpes)

Evêque St GeorgesA la fin du VIème siècle, du temps de Grégoire de Tours, le premier historien qui en fasse mention, la ville du Puy, ou mieux d'Anis (Anicium), n'existait pas encore. Cette dénomination s'appliquait à une montagne où domina ensuite la ville d'Anis, appelée aujourd'hui Le Puy, mot dérivé de l'aquitain puich ou puech , signifiant hauteur, éminence. Dès son origine, nous voyons la ville du Puy ou d'Anis, située dans le Velay, se montrer à nous sous la dépendance de ses évêques, parmi lesquels nous comptons onze saints. L'époque précise de la fondation de ce siège épiscopal est fort douteuse, et c'est à peine si nous connaissons les noms des évêques du Velay qui l'ont occupé antérieurement au VIème siècle.

Les deux historiens de cette église, Gissey et Théodore, rapportent, à la vérité, plusieurs circonstances de leurs vies; mais ils ne se fondent que sur des bréviaires ou des légendes d'une autorité trop moderne, et par cela même très contestable. Ils donnent à cette église pour premier évêque saint Georges qu'ils font disciple de saint Pierre, et dont l'église collégiale de son nom, dans la ville du Puy, conserve les reliques. On cite, après lui, saint Marcellin et saint Paulier, et l'on veut que le successeur de celui-ci, saint Évode, vulgairement nommé Voisy, ait transféré, soit au IIIème, soit au VIème siècle (on est loin d'être d'accord à ce sujet), le siège épiscopal, placé alors à Ruessium ou Vallava , civitas Vellavorum , depuis Saint Paulier, dans la ville d'Anicium. Selon une autre version , cette translation ne s'opéra qu'entre les années 877 et 919, par les soins de l'évêque Norbert, qui, à cette occasion, transféra de Vallava au Puy les reliques de saint Georges et de saint Marcellin.

Evêque GodescalcQuoi qu'il en soit, les commencements de la ville du Puy durent être difficiles, car il ne parait point qu'elle se soit constituée dans un intervalle moins long que celui qui s'étend de la fin du Xème siècle aux premières années du XIIème. Anicium n'était encore qu'un bourg, dont le domaine appartenait aux ducs d'Aquitaine, comtes particuliers du Velay, lorsque le roi Raoul donna, le 8 avril 924, du consentement de l'un d'eux, Guillaume II ou III, son vassal, à l'évêque du Velay, Adalard, le bourg contigu à l'église de Notre-Dame du Puy, avec toutes ses dépendances, savoir ; les droits de télouée ou de douane (teloneum), de marché, de ressort et de monnaie.

L'évêque du Puy jouit donc, dès lors, des droits régaliens; on ne saurait affirmer pourtant qu'Adalard ait le premier battu monnaie; un fait incontestable, c'est que ses successeurs firent frapper des sous qu'on appela podienses. La charte de Raoul fut confirmée, en 955, par le roi Lothaire, en faveur de l'évêque Gotescale qui s'était rendu auprès de lui, à Laon; et, en 1134, par Louis-le-Gros, dont le diplôme, daté d'Orléans, confond pour la première fois Anis (Anicium) avec Le Puy et le qualifie de cité. Louis-le-Gros, dans cette charte, donna en outre le château de Corneille à l'évêque Humbert ; mais il n'y mentionna, pas plus que ne l'avaient fait les rois Lothaire et Raoul, le comté meure de Velay, ce qui prouve que les évêques du Puy ne l'unirent pas de si tôt à leur domaine. S'il faut en croire quelques auteurs, ils ne relevaient que du saint-siège, depuis 998, par privilège accordé à l'évêque Théotard ; ce n'était que plus tard, en 1051, que le pape Léon IX avait joint è cette prérogative celle de porter le pallium.

L'église de Notre-Dame du Puy possédait déjà un grand renom de sainteté, et les fidèles y accouraient de toute part. Le très-pieux roi Robert la visita en revenant de Brioude (1229). L'évêque Aymar de Monte força le vicomte de Polignac à se désister de ses prétentions sur elle (1087) ; de manière que le pouvoir des prélats s'accrut successivement d'une infinité de dotations, émanées de la dévotion superstitieuse de l'époque, et des concessions de plusieurs places fortes du Velay (1169). Louis-le-Jeune fut le premier roi de France, de la troisième race, qui leva un subside dans la cité du Puy, oùil était venu deux fois (1138-1146).

Urbanus IICette ville avait reçu dans ses murs les papes Urbain II (1095), Gélase II et Calixte II, son successeur (1118), Alexandre II (1162) et Alexandre III (1165). Il s'y était tenu un concile (1130), dans lequel Innocent Il fut unanimement reconnu pape, et Anaclet, son compétiteur, excommunié; et, quand l'hérésie des Albigeois devint inquiétante, un légat du pape Alexandre III y en réunit un nouveau (1381), pour la combattre. Il serait trop long d'énumérer tous les rois, princes ou seigneurs, toutes les reines et toutes les grandes dames, tous les pèlerins et autres de toute condition, de tout sexe, de tout âge, que la réputation de la sainte Vierge du Puy y amenait en foule; nous nous contenterons de dire qu'il y eut, en 1406, le jour de l'Annonciation , à cause de la simultanéité de cette fête avec le Vendredi-Saint et de l'indulgence particulière qui y était attachée, un tel concours de pèlerins à Notre-Darne du Puy, qu'on ne compta pas moins de deux cents personnes étouffées dans cette prodigieuse affluence.

Roi Jacques d'AragonAvant d'entreprendre le voyage de la Terre-Sainte, le roi Philippe-Auguste s'avança jusqu'au Puy pour invoquer le secours de la Vierge et la rendre favorable à son entreprise (1188). Quelques années après commencèrent, entre l'évêque du Puy, Robert de Mehun, et les habitants de cette ville, des démêlés dans lesquels le roi intervint au profit de l'évêque, qui périt bientôt assassiné, à Saint-Germain, par un certain Bertrand de Cares, qu'il avait excommunié.

Plus tard, les habitants cherchèrent de nouveau à se soustraire à la puissance temporelle de leur prélat; mais celui-ci, étayé de l'autorité royale, finit toujours par les mettre à la raison (1219-1236). Saint Louis eut une entrevue au Puy avec Jacques, roi d'Aragon, et y séjourna trois jours à son retour de la Palestine; il reçut le droit de gîte de la part des bourgeois, de l'évêque et du chapitre (1243-1254). Cependant une déplorable sédition agita le Puy, au sujet de quelques soldats qui avaient pillé la campagne des environs. Deux officiers de justice périrent victimes de l'exaspération populaire, et, à cette occasion, la commune resta privée pendant longtemps de son consulat et de ses franchises (1277). Philippe-le-Hardi et Philippe-le-Bel s'arrêtèrent aussi au Puy, l'un, en 1283, l'autre, en 1285. L'évêque, Jean de Cuménis, figura au nombre des prélats qui soutinrent ce dernier prince contre le pape Boniface VIII. et en appelèrent au prochain concile des entreprises du saint-siégé (1283-1285-1313).

Pendant la captivité du roi Jean, les habitants du Puy prirent les armes et arrêtèrent les courses des Anglais près de Clermont (1359). Charles VI, dans l'espoir d'obtenir quelque adoucissement à ses accès de démence, entreprit deux pèlerinages au Puy, où il toucha les écrouelles. Le même roi fixa à six le nombre des consuls de la ville, et ne trouvant pas sans doute que la couleur de leurs robes, manteaux et chaperons fût de bon goût, il ordonna que désormais, au lieu d'étre faits de drap bleu, ils le seraient d'écarlate (1389-1394). Au commencement du siècle suivant, les seigneurs du Velay eurent à lutter à la fois contre les Anglais et contre le duc de Bourgogne. Ils s'enfermèrent dans la ville du Puy que le duc avait essayé de surprendre, espérant que sa soumission entraînerait celle du Vivarais et du Gévaudan. Leur résistance découragea les assaillants, commandés par le prince d'Orange (1419). Peu de temps après, le dauphin, depuis Charles VII, ayant fait son entrée au Puy, après avoir soumis le Languedoc, créa chevaliers tous ceux qui s'étaient distingués contre les Bourguignons ; il était au château d'Espaly, près du Puy, quand il apprit la mort de son père, et c'est là qu'il fut salué roi de France (1420-1422).

Château d'EspalyPendant la guerre du Bien public, le Velay, malgré les efforts du comte de Polignac et de l'évêque du Puy, resta fidèle au roi; les mesures habiles du gouverneur de la province empêchèrent la ville de se prononcer (1460). La reine de France, Charlotte de Savoie, visita Le Puy, en 1470, et Louis XI , six ans aprés, y vint lui-même en pèlerinage pour faire une neuvaine. En 1482, Le Puy fut affligé d'une fièvre pestilentielle, précédée d'une horrible tempête, qui détruisit la récolte et engendra la famine. Le fléau moissonna dix-sept mille personnes, qu'on inhuma pêle-mêle au Clusel, sur la place du Martouret, à l'endroit même où s'élève maintenant l'hôtel de ville. La peste sévit de nouveau au Puy en 1521, et y exerça encore ses ravages, en 1547. Les habitants épouvantés cherchèrent un refuge dans la campagne; les consuls eux-mêmes s'éloignèrent de la ville, où l'herbe ne tarda pas à croître dans les rues. Dans un intervalle de sécurité, la dévotion avait attiré au Puy trois illustres visiteurs : Charles VIII et François Ier, rois de France (1495-1516), et Jean Stuart, régent d' Écosse (1533). Henri II, en 1548, convoqua dans cette ville la tenue des Grands Jours, avec commission d'extirper la malheureuse secte luthérienne. Quelques hérétiques y furent condamnés au feu.

François de ColignyLa majorité de la population du Puy était catholique quand éclatèrent les guerres de religion. Le baron des Adrets ne pouvant s'y rendre en personne pour réduire la ville, détacha Blacons, son lieutenant, qu'il mit à la tète de sept à huit mille hommes (1562). Celui-ci arrive, à la pointe du jour. devant la place , défendue par l'élite de la noblesse du Velay. Repoussé vigoureusement, il pille le petit bourg d'Aiguilhe, les Cordeliers, les Jacobins, et va s'emparer d'Espaly château de l'évêque du Puy, Sénectère; il en détruit les fortifications et les murs, puis il revient contre la ville, mais toutes ses attaques échouent et il est forcé de lever le siège avec perte. Pour parer à de nouvelles agressions de la part des protestants, qui, par bonheur, ne les renouvelèrent pas,

Antoine de la Tour de Saint-Vidal, gouverneur du Velay et du haut Vivarais, fit fortifier Le Puy, et convoqua le ban et l'arrière-ban de la noblesse. Plus tard, de nouvelles fortifications furent ajoutées au Puy. Les protestants complotèrent de livrer la place; mais le sénéchal de Rochebonne découvrit et déjoua la conspiration (1568). A l'époque de la Saint-Barthélemy, l'évêque Sénectère refusa d'exécuter les ordres sanguinaires de la cour. Il réunit les protestants dans son palais, leur fit part des lettres du roi, et sut les toucher si bien par sa magnanimité, qu'ils abjurèrent sur-le-champ (1572). La ville adhéra bientôt à la Ligue, et François de Coligny essaya vainement de la surprendre (1585). La Tour de Saint-Vidal partisan très ardent des Guise, lit jurer ensuite aux habitants la Sainte-Union contre Henri III. Une députation de la ville de Toulouse acheva de les entraîner: l'évêque donna l'exemple. Le roi , mécontent, nomma François de Chaste gouverneur du Velay; mais les habitants du Puy persistèrent à ne reconnaître cette qualité qu'au baron de Saint-Vidal. En son absence, ils choisirent vingt-quatre d'entre eux, auxquels ils confièrent la principale autorité, en imitation du conseil des Seize de Paris et de celui des Dix-huit de Toulouse. A la mort de Henri III, Chaste et l'évêque reconnurent Henri IV , tandis que les habitants du Puy, dirigés par Saint-Vidal, faisaient des préparatifs de défense.

Louis MandrinLes ligueurs de cette ville y publièrent un arrêté du parlement de Toulouse, prononçant la confiscation des biens des politiques, pour en affecter le produit aux frais de la guerre. Ils se mirent ensuite en campagne, prirent d'assaut le château de Polignac dont ils rasèrent les fortifications, et tentèrent un coup de main sur les châteaux de Ceyssac et d'Espaly (1589 - 1590). Plus heureux, Saint-Vidal était revenu, avec le titre de gouverneur du Gévaudan, à la tête de cinq à six mille hommes ; il occupa, par capitulation, Espaly, dont il fit sauter les fortilications. Mais dans une entrevue d'accommodement, s'étant pris de querelle avec Chaste, il se battit en duel avec lui et fut tué. Les ligueurs du Puy lui firent de magnifiques funérailles, et renouvelèrent le serment de ne reconnaître ni Henri de Bourbon ni personne de son parti : l'effigie du Béarnais fut même brûlée publiquement. Les royalistes voulurent alors surprendre le Puy, pendant la nuit; mais leur projet fut éventé, et ils perdirent beaucoup de monde.

Leurs principaux chefs, entre autres le sénéchal Chaste, périrent dans cette échauffourée. Plusieurs habitants soupçonnés de connivence furent emprisonnés, et les plus notables pendus sur la place du Martouret. Enfin, abandonnés de tous leurs alliés, obligés de monter la garde toutes les deux nuits, de terrasser pendant le jour, de payer les contributions par anticipation, ayant de plus à craindre l'irruption des Croquants, les habitants du Puy renoncèrent à guerroyer, et signèrent la paix avec Henri IV, qui leur accorda l'exemption de la taxe pendant cinq ans (1591-1596). Depuis cette époque, l'histoire du Puy ne présente plus que quelques événements secondaires. Le seul qui nous semble mériter une mention est l'entreprise audacieuse du fameux voleur Mandrin, qui, entré au Puy, malgré la vigilance des employés, pilla la maison du capitaine général des fermes, força les prisons d'où il enleva plusieurs détenus, et se retira tranquillement pour exercer ailleurs ses brigandages (1754).

Pape Clément IVLe Puy, capitale de l'ancien Velay, et siège des États particuliers de ce pays , était autrefois une place de guerre très forte, et passait pour la sixième ville du Languedoc. Ses armoiries, qu'elle fut autorisée à reprendre sous la Restauration, par une ordonnance royale, sont semées de France à l'aigle d'argent au vol abaissé, brochante sur le tout; l'écu accolé de deux palmes de sinople lien d'azur. Ces armes lui furent accordées sous lingues Capet, vers l'an 992, à la sollicitation de Guy Foulques, évêque du Velay. Le Puy a aujourd'hui une société d'agriculture, sciences et arts, un musée de tableaux, de statues et d'antiquités, une bibliothèque, un collège, un tribunal de première instance et un tribunal de commerce. Cette ville est toujours le siège d'un évêché : on y compte plus de 15000 âmes; le département de la Haute-Loire dont elle est le chef-lieu, renferme près de 299000 habitants, et l'arrondissement 132500. Espaly, dans le canton même du Puy, en a 1200 environ.

DentellièreOutre les personnages célèbres que nous avons eu occasion de nommer dans le cours de cette notice, le Puy à vu naître le pape Clément IV, élu dans le XIII° siècle; le littérateur Irail; le peintre Boyer; les Guy, père et fils, peintres tous les deux, l'un surnommé le Grand, l'autre l'Illustre, le premier, connu en Italie sous le nom de Guide Franciste, le second, à Paris, où il acquit une réputation en partie justifiée par un de ses tableaux conservé dans l'église de Notre-Dame du Puy. Nous citerons ensuite le baron de Latour-Maubourg, maréchal de France; et le cardinal Melchior de Polignac, membre de l'Académie française, dont le nom appartient à notre histoire politique et littéraire; en effet, le négociateur de la paix d'Utrecht, l'auteur de l'Anti-Lucrèce occupe une place importante au milieu des grands hommes du siècle de Louis XIV.

Le commerce du Puy consiste principalement en dentelles, en graines et en légumes que cette ville expédie dans les départements méridionaux; les cuirs préparés et cousus en outres. commodes au transport des vins, faisaient anciennement une des branches de son industrie, qui à beaucoup diminué. Malgré sa déchéance commerciale, le Puy possède encore des fabriques de blondes blanches et noires, de dentelles, d'outres ou sacs à vin, de couvertures et d'étoffes de laine commune, une filature et une teinturerie de laine, une clouterie, des fonderies de pots, marmites, cloches, sonnettes, grelots, objets dont les muletiers du centre et du midi de la France s'approvisionnent depuis plus d'un siècle; des tanneries de peaux de chèvres, une papeterie et des fours à chaux.

L'aspect de la ville, qui se développe en amphithéâtre sur la pente du Mont-Corneille près des petites rivières de la Borne et de DoIaison, à une lieue de la Loire où elles se jettent, offre un aspect très pittoresque. Si elle est jolie en perspective, elle ne gagne pas à être examinée intérieurement; ses rues mal percées, étroites, malpropres, d'une pente inaccessible aux voitures dans une partie de la haute ville, pavées avec les débris de la roche volcanique de Corneille, rendues plus ou moins glissantes par les pluies, la glace ou la sécheresse, font courir des dangers à l'étranger qui n'a pas l'habitude de les parcourir.

On distingue pourtant dans cette ville la promenade du Breuil. Quant à ses monuments, ce sont la cathédrale de Notre-Dame, dont on remarque la hardiesse, la construction bizarre, et la magnifique façade ; l'église de Saint-Laurent, que le souvenir de Du Guesclin, dont les entrailles y sont déposées, recommande à la vénération de tous les Français; celle de Saint-Michel, qui n'aurait rien de particulier que son ancienneté gothique, si elle n'acquérait un véritable prix à cause du roc pyramidal que couronne son clocher en aiguille, véritable obélisque se confondant dans l'éloignement arec la singularité du cône représenté par le roc; enfin un bâtiment de forme ronde appelé le Temple de Diane, et parmi les constructions modernes , l'hôtel de la préfecture, l'hôtel de ville, l'hôtel-Dieu, l'hôpital général, le séminaire, et les casernes de cavalerie, situées dans le faubourg Saint-Laurent, près le pont d'Estrouilhas. Histoire des villes de France publié par Aristide Guilbert

 

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